Un petit café ?
C’est le début des deux semaines d’écriture intensive et, persuadée qu’il n’y aurait pas de café dans la maison, j’y voyais l’occasion d’arrêter… Et puis, en arrivant hier, j’ai vu la cafetière. J’ai continué à y croire : non, je vais tenir, je vais résister. C’était sans compter sur le mal de tête du matin, un petit mal de tête discret, qui me soufflait à l’oreille : hey toi là, tu m’as pas donné ma dose hier après-midi ! Tu croyais vraiment que j’allais te laisser tranquille ?
Bien sûr que non.
Je suis descendue,
j’ai ouvert le paquet,
l’odeur m’a salué,
je l’ai maudite
avant d’aspirer une grande bouffée.
J’ai plongé ma cuillère,
rajouté de l’eau,
appuyé sur le bouton :
Le glou glou grou crrrr de la cafetière a fait sourire mon mal de tête.
Bref, j’écris cette lettre en sirotant mon café.
À bientôt, peut-être.
Élodie
C’était optimiste de vouloir arrêter le café pendant une intense période d’écriture !
Je viens de découvrir tes vidéos et maintenant ton blog, et j’aime beaucoup le choix du titre « Résonances ». C’est vraiment un très joli coin d’internet que tu as créé, je me réjouis de te suivre pour la suite !
Ouah, merci pour ce compliment, ça me touche beaucoup et bienvenue dans cette bulle 🙂 Oui mon mantra créatif reste » Trouver en soi ce qui résonne en l’autre ; trouver en l’autre ce qui résonne en soi » Alors, ravie que cet espace résonne en toi. Et oui… pour le café, j’étais optimiste, mais surtout je pensais que je n’aurais pas le choix.
[…] Ça me laisse le temps de me réveiller en douceur, d’écrire ma lettre du matin, de prendre un petit café (coupable !), de planifier ma journée, de méditer. Bref, ça me donne l’impression de […]
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